Paul-Jean Toulet (1867-1920)
Fô a dit ...
« Ce tapis que nous tissons comme Le ver dans son linceul Dont on ne voit que l’envers seul : C’est le destin de l’homme. |
|
« Mais peut-être qu’à d’autres yeux, L’autre côté déploie Le rêve, et les fleurs, et la joie D’un dessin merveilleux. » |
Tel Fô, que l’or noir des tisanes Enivre, ou bien ses vers, Chante, et s’en va tout de travers Entre deux courtisanes. |
|